Rue Arsène-Leloup
Cet article est une ébauche concernant Nantes.
Rue Arsène-Leloup | |
Image illustrative de l’article Rue Arsène-Leloup Rue Arsène-Leloup, vue de la rue Évariste-Luminais en direction de la rue Dobrée | |
Situation | |
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Coordonnées | 47° 12′ 43′′ nord, 1° 34′ 10′′ ouest |
Pays | Drapeau de la France France |
Région | Pays de la Loire |
Ville | Nantes |
Quartier(s) | Centre-ville |
Début | Rue Dobrée |
Fin | Rue Évariste-Luminais |
Morphologie | |
Type | Rue |
Forme | Rectiligne |
Histoire | |
Anciens noms | Ruelle des Coullées Rue des Coullées Avenue du Bois des Coullées |
Géolocalisation sur la carte : Nantes
(Voir situation sur carte : Nantes)
Rue Arsène-Leloup Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Arsène-Leloup Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
(Voir situation sur carte : Loire-Atlantique)
Rue Arsène-Leloup | |
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La rue Arsène-Leloup est une voie de Nantes, en France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code ]Située dans le centre-ville de Nantes, la rue Arsène-Leloup, qui relie la rue Dobrée à la rue Évariste-Luminais, est bitumée et ouverte à la circulation automobile. Sur son côté est, elle rencontre la rue Désiré-Colombe.
Origine du nom
[modifier | modifier le code ]en l'honneur de Arsène Leloup, enseignant et un homme politique, maire de Nantes de 1871 à 1872, fondateur de l’« école professionnelle de Nantes » qui s'installa dans un premier temps rue Désiré-Colombe, puis déménagea dans les locaux de l'école Launay (sur le boulevard du même nom) pour devenir par la suite le lycée Leloup-Bouhier [1] .
Historique
[modifier | modifier le code ]Il y eut une rue et une ruelle des Coulées, dont il est fait mention dans des travaux projetés pour la construction d’une école normale, de 1832 à 1837. Il y était encore mention d'une voie dite « Bas des Coulées », une avenue dite « Bois des Coulées », qui fut utilisée quelques années auparavant, vers 1825, pour le percement de l'artère[1] . La voie a été baptisée « rue Arsène-Leloup » en 1884.
Au début du XXe siècle, le restaurateur Jules Mauduit achète en 1905, une salle afin d'y organiser des réceptions, des mariages et des soirées. Celle-ci deviendra les salons Mauduit qui accueillera le « tout Nantes » après la première Guerre mondiale. À la fin des années 1930, la décoration intérieure est refaite dans le style art déco.
En 1911, la mairie décide d'installer la bourse du travail dans un bâtiment qui ne sera achevé qu'en 1921[2] .
Dans le cadre de l'opération d'aménagement « Désiré Colombe », les salons ont été démolis, afin d'être reconstruits à l'identique en léger retrait par rapport à son emplacement initial. Leur inauguration est prévue pour 2016[3] .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
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Panneau
-
Les salons Mauduit
Références
[modifier | modifier le code ]- ↑ a et b Pied 1906, p. 172.
- ↑ [PDF]Daniel Richard, « La Bourse du travail », Les Annales de Nantes et du Pays nantais, Société académique de Nantes et de la Loire-Atlantique, no 244, , p. 33-34 (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Les riches heures des salons Mauduit
Voir aussi
[modifier | modifier le code ]Bibliographie
[modifier | modifier le code ]- Édouard Pied, Notices sur les rues de Nantes , A. Dugas, , 331 p., p. 172.
Articles connexes
[modifier | modifier le code ]Sur les autres projets Wikimedia :
- Rue Arsène-Leloup, sur Wikimedia Commons
Liens externes
[modifier | modifier le code ]- Rue Arsène-Leloup sur le site des archives municipales de Nantes