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X 4300

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Pour les autres séries de « caravelles », voir : Élément automoteur double.
X 4300
L'X 4356 non modernisé au dépôt de Chartres en 1999.
Identification
Exploitant(s) SNCF
Désignation X 4301 à X 4451
Surnom EAD ou caravelles
Motorisation Diesel
Composition 2 caisses (M+R)
Couplage UM 3 entre eux et avec X 4500 à X 4900
Construction 151 exemplaires
Constructeur(s) ANF 1963 - 1970
Effectif 0 au (01/07/2020)
caractéristiques techniques rames
Type Rame d'origine Rame modernisée
Longueur:
Masse:
42,480 m
57 t
43,480 m
58,6 t
Caractéristiques techniques
Écartement standard (1 435 mm)
Carburant gazole
Moteur thermique 1 SSCM-Poyaud C 6150 SR T
Puissance 330 kW
à 1800 tr/min
Transmission mécanique
Puissance continue 295 kW
Capacité en carburant 800 L
Largeur 2,888 m
Hauteur 3,740 m
Empattement 15,200 m
Empattement du bogie 2,500 m
Diamètre des roues Ø860
Places assises selon version 141 ou 133 pl.
Vitesse maximale 120 km/h

[1] ,[2] ,[3] ,[4]

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Les X 4300 sont des autorails bicaisses (comportant une motrice et une remorque), 1re série de la famille surnommée « caravelles », appartenant à la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), qui les classifie dans les éléments automoteurs diesel (EAD). Ils ont circulé en service commercial sur le réseau ferroviaire français de 1963 à 2009. Depuis, outre un élément maintenu pour des essais, plusieurs chemins de fer touristiques ont conservé des exemplaires.

Mise en service

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Leur sortie dans les années 1960 leur donne droit à la livrée des autorails de l'époque, rouge et crème. L'aménagement intérieur est constitué de banquettes à cinq places de front en 2e classe.

Construits en grande série, 151 exemplaires, ces engins marquèrent le début d'un renouvellement du parc automoteur à la SNCF. Ils ont par ailleurs donné naissance à une longue descendance avec les X 4500 (2e série), les X 4630 (3e série), les X 4750 (4e série, avec la sous-série des X 4790 et des X 94750) et les X 4900 (5e série). Ce sont l'ensemble de ces 5 séries qui sont surnommées « Caravelles ».

Modernisation

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X 4300 modernisé en gare de Saint-Lazare.

Dans les années 1980, leur confort ne supporte plus la comparaison avec celui de matériels récents et notamment les rames TGV et train Corail dont ils assurent la correspondance. Les critiques des usagers sont entendues et une remise à niveau est décidée.

La rénovation concerne les cabines de pilotage qui sont modifiées, avec un nouveau masque incliné, pour protéger le conducteur en cas de choc, et l'aménagement intérieur des espaces voyageurs. Des sièges individuels remplacent les banquettes et l'espace dévolu aux passagers augmente en passant de cinq à quatre places de front. La livrée extérieure est remise au goût du jour.

Le financement de ces aménagements lourds est assuré par la SNCF pour la partie technique - masque des cabines, motorisation, transmission, roulement...- et par des collectivités locales pour les sièges des salles voyageurs, ainsi que la mise en peinture de la caisse. Chaque entité régionale peut choisir sa couleur dans la palette proposée par la SNCF : bleu Isabelle, vert perroquet, rouge vermillon ou jaune lithos.

Finalement, cette modernisation apporte un confort mieux apprécié par la clientèle et un surcroit de sécurité pour les conducteurs avec l'aménagement des cabines de conduite. En revanche, l'opération alourdi les engins : de 36,2 à 40 tonnes pour la motrice et de 23,4 à 27,5 pour la remorque. Leur motorisation déjà limitée, a encore perdu en capacité d'accélération, ce qui leur vaut d'avoir le surnom de « caravelle » transformé en « caramelle - mou »[5]  !

Fin de carrière

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Les X 4300 ne comptent plus d'éléments en service en 2009 à l'exception de l'X 4391, maintenu en utilisation spéciale pour essais ETCS. Quelques exemplaires ont été rachetés par des chemins de fer touristiques. Certains ont été vendus et exportés : on voit ainsi rouler en Roumanie des exemplaires non modernisés, dans leur livrée d'origine.

Caractéristiques

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Les X 4300 disposent d'un moteur SSCM-Poyaud six cylindres à plat placé sous la motrice. La transmission se fait au travers d'une boîte mécanique à huit vitesses. Leur puissance modeste de 295 kW a souvent limité cette série à des lignes au profil relativement plat, mais les bris de motorisation furent légion.

Services effectués

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Ces autorails ont été construits de 1963 à 1970 totalisant 151 exemplaires. Leur histoire, commune avec celle des X 4500 est détaillée sur la page Élément automoteur double.

Les années 2000 virent la fin des grandes révisions et le début des radiations massives, de nouvelles séries d'engins modernes faisant leur apparition, tels que les X 72500 ou X 73500.

Lignes desservies

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  • Paris-Saint-Lazare - Maisons-Laffitte (avant 1966)
  • Paris-Saint-Lazare - Evreux (avant 1966)
  • Chartres - Courtalain - Saint-Pellerin
  • Conflans-Sainte-Honorine - Pontoise (avant 1966)
  • Conflans-Sainte-Honorine - Mantes-la-Jolie (avant 1966)
  • Poitiers - Ligne de Saint-Benoit à La Rochelle
  • Niort - Saintes
  • Saintes - Royan
  • Saintes - Angoulême
  • Saintes - La Rochelle
  • La Roche-sur-Yon - Saumur
  • Angers - Le Mans
  • Nantes - Redon
  • Nantes - Le Croisic
  • Nantes - Sainte-Pazanne - Pornic/Saint-Gilles-Croix-de-Vie
  • Nantes - Tours
  • Nantes - Clisson - Cholet ou La Roche-sur-Yon - Les Sables-d'Olonne
  • Tours - Nevers ou Montluçon - Auzance ou Commentry
  • Lyon - Grenoble
  • Lyon Perrache - Peyraud
  • Lyon Perrache - Roanne
  • Valence - Grenoble
  • Dijon - Besançon
  • Besançon - Lons-le-Saunier
  • Dijon - Chalon-sur-Saône
  • Dijon - Montbard
  • Dijon - Is
  • Amiens - Lille
  • Amiens - Le Havre
  • Douai - Arras
  • Paris-Nord - Laon - Hirson
  • Tours - Chinon
  • Tours - Loches
  • Tours - Paris-Austerlitz via Vendôme
  • Tours - Le Mans - Chartres - Courtalain
  • Tours - Le Mans - Surdon - Argentan - Caen
  • Dreux - Argentan
  • Strasbourg - Sélestat via Molsheim
  • Strasbourg - Saales
  • Lille Flandres - Comines France
  • Dijon - Nevers - Clermont-Ferrand
  • Moulins - Dompierre-Sept-Fons - Paray-le-Monial - Montchanin - Chagny - Beaune - Dijon
  • Nevers - Montargis
  • Nevers - Autun - Laroche - Clamecy
  • Mulhouse - Thann (jusqu'en 2005)
  • Colmar - Metzeral
  • Paris-Bercy - Clamecy
  • Avallon - Etang-sur-Arroux
  • Nancy - Pont-Saint-Vincent - Chalindrey (jusqu'en 2007)
  • Nancy - Remiremont
  • Strasbourg - Sarreguemines - Forbach - Metz

(liste non exhaustive)

Dépôts titulaires, Établissements Publics Régionaux[6] ,[7] ,[8] ,[9] ,[10] ,[11] ,[12]

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  • Évreux (dès 1964)
  • Longueau (dès 1966)
  • Lyon-Vaise (dès 1963)
  • Marseille-Blancarde
  • Metz-lès-Sablons (dès 1964)
  • Montargis (dès 1965)
  • Nantes (dès 1965)
  • Nevers (par mutations à partir de 1985)
  • Nice-Saint-Roch (dès 1963)
  • Sotteville-lès-Rouen (avec 1 seul exemplaire au départ en 1970)
  • Strasbourg (dès 1963)
  • Tours-Saint-Pierre (dès )

Situation en décembre 1963

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  • Lyon-Vaise (avec 8 engins)
  • Nice-Saint-Roch (avec 7 engins)
  • Strasbourg (avec 3 engins)
  • Tours-Saint-Pierre (avec 3 engins)

(soit un total 21 engins en service)

Situation en décembre 1971

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  • Longueau (avec 45 engins)
  • Metz-lès-Sablons (avec 47 engins)
  • Sotteville-lès-Rouen (avec 15 engins)
  • Tours-Saint-Pierre (avec 48 engins)

(soit un total 150 engins en service)

Situation au 1er janvier 1973[6]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 46 engins)[6]
  • Longueau (avec 31 engins)[6]
  • Sotteville-lès-Rouen (avec 15 engins)[6]
  • Tours-Saint-Pierre (avec 55 engins)[6]

(soit un total de 147 engins en service)

Situation au 1er janvier 1976[6]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 72 engins)[6]
  • Longueau (avec 20 engins)[6]
  • Tours-Saint-Pierre (avec 53 engins)[6]

(soit un total de 145 engins en service)

Situation au 1er janvier 1979[7]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 87 engins en service)[7]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (58 engins en service)[7]

(soit un total de 145 engins en service)

Situation au 1er janvier 1986[8]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 91 engins)[8]
  • Nantes (avec 12 engins)[8]
  • Tours-Saint-Pierre-des-Corps (avec 42 engins)[8]
  • Nevers (avec 1 engin mutés de Tours-Saint-Pierre-des-Corps)[8]

(soit un total de 145 engins en service)

Situation au 1er janvier 1992[9]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 88 engins repartis entre 71 non modernisés et 17 TER Champagne-Ardennes qui le sont lourdement)[9]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (avec 35 engins répartis entre 23 non modernisés et 12 TER Centre qui le sont lourdement)[9]
  • Nevers (21 engins non modernisés)[9]

(soit un total de 144 engins en service)

Situation au 1er janvier 1994[10]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 91 engins répartis entre 67 non modernisés et 24 TER Champagne-Ardennes qui le sont lourdement)[10]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (avec 35 engins répartis entre 20 non modernisés, 12 TER Centre et 3 Pays de la Loire qui le sont lourdement)[10]
  • Nevers (avec 17 engins non modernisés)[10]

(soit un total de 143 engins en service)

Situation au 1er janvier 1998[11]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 90 engins répartis entre 64 non modernisés, 26 TER Champagne-Ardennes qui le sont lourdement)[11]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (avec 30 engins répartis entre 14 non modernisés, 12 TER Centre et 4 Pays de la Loire qui le sont lourdement)[11]
  • Nevers (avec 16 engins non modernisés)[11]

(soit un total de 136 engins en service)

Situation au 1er janvier 2003[12]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 83 engins répartis entre 57 non modernisés et 26 TER Champagne-Ardennes qui le sont lourdement)[12]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (avec 17 engins répartis entre 1 non modernisé, 12 TER Centre et 4 Pays de la Loire qui le sont lourdement)[12]
  • Nevers (avec 13 engins non modernisés)[12]

(soit un total de 113 engins en service)

Situation au 1er janvier 2007[13]

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  • Metz-lès-Sablons (avec 54 engins en service répartis entre 2 non modernisés, les Activités Régionales 6 TER Alsace, 22 TER Lorraine et 26 Champagne-Ardennes qui le sont lourdement)[13]
  • Tours - Saint-Pierre-des-Corps (avec 15 engins en service répartis entre les Activités Régionales 8 TER Centre et 7 Pays de la Loire en modernisation lourde)[13]
  • Nevers (avec 10 engins de l’Activité Régionale TER Bourgogne en modernisation lourde)[13]

(soit un total de 79 engins en service)

En 2008, il n'y a plus que le dépôt de Tours-Saint-Pierre qui possède cette série d'engins, avec 6 exemplaires en service.

Situation en juillet 2011

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État du matériel au 12/07/2011
Motrices Mise en service Radiation Livrée Dépôts Baptême (Date) Activité
4301 Rouge Nevers / /
4302 Rouge Metz / /
4303 Rouge Nevers / /
4304 Rouge Metz / /
4305 Rouge Metz / /
4306 Rouge Metz / /
4307 Rouge Nevers / /
4308 Rouge Nevers / /
4309 Rouge Nevers / /
4310 Rouge Nevers / /
4311 Rouge Metz / /
4312 Rouge Tours-St-Pierre / /
4313 Rouge Metz / /
4314 Rouge Nevers / /
4315 Rouge Tours-St-Pierre / /
4316 Rouge Nevers / /
4317 Rouge Metz / /
4318 Rouge Metz / /
4319 Rouge Metz / /
4320 Rouge Metz / /
4321 Rouge Metz / /
4322 Rouge Metz / /
4323 Rouge Metz / /
4324 Rouge Metz / /
4325 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4326 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4327 Rouge Metz / /
4328 Rouge Metz / /
4329 Rouge Nevers / /
4330 Rouge Nevers / /
4331 Rouge Metz / /
4332 Rouge Metz / /
4333 Rouge Metz / /
4334 Rouge Nevers / /
4335 Rouge Metz / /
4336 Rouge Nevers / /
4337 Rouge Nevers / Vendue en Roumanie
4338 Rouge Metz / /
4339 Rouge Metz / /
4340 Rouge Nevers / Vendue en Roumanie
4341 Rouge Metz / /
4342 Rouge Metz / /
4343 Rouge Metz / /
4344 Rouge Metz / /
4345 Rouge Nevers / Vendue au CFV3V
4346 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4347 Rouge Longueau / /
4348 Rouge Metz / /
4349 Bleu Epernay / /
4350 Rouge Metz / /
4351 Devenue 4624 (02/04/1973) Rouge / / /
4352 Rouge Metz / /
4353 Rouge Metz / /
4354 Rouge Metz / /
4355 Rouge Metz / /
4356 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4357 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4358 Bleu Epernay / /
4359 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4360 Bleu Tours-St-Pierre / /
4361 Rouge Metz / /
4362 Rouge Tours-St-Pierre / /
4363 Rouge Metz / /
4364 Bleu Epernay Revin () /
4365 Devenue X AS 2061 Rouge / / /
4366 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4367 Rouge Metz / Vendue au CFV3V
4368 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4369 Bleu Epernay / /
4370 Bleu Tours-St-Pierre / /
4371 Devenue 4625 (13/09/1973) Rouge / / /
4372 Bleu Tours-St-Pierre / /
4373 Bleu Metz / /
4374 Rouge Metz / /
4375 Rouge Nevers / /
4376 Bleu Epernay / /
4377 Bleu Epernay / /
4378 Bleu Epernay / /
4379 Rouge Metz / /
4380 Rouge Metz / /
4381 Bleu Epernay / /
4382 Devenue 4626 (06/06/1975) Rouge / / /
4383 Rouge Metz / /
4384 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4385 Rouge Longueau / /
4386 Rouge Nevers / /
4387 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4388 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4389 Bleu Epernay / Vendue en Roumanie
4390 Rouge Metz / /
4391 1 juillet 2020 Bleu SLI / Agence d'Essai Ferroviaire
4392 Bleu Epernay / /
4393 Bleu Tours-St-Pierre / /
4394 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4395 Rouge Metz / Vendue au TTDA
4396 Rouge Nevers / /
4397 Rouge Nevers / Vendue en Roumanie
4398 Rouge Metz / /
4399 Rouge Metz / /
4400 Bleu Tours-St-Pierre / Vendue en Roumanie
4401 Rouge Metz / /
4402 Bleu Tours-St-Pierre / Vendue en Roumanie
4403 Bleu Tours-St-Pierre / /
4404 Rouge Metz / /
4405 Rouge Metz / /
4406 Bleu Epernay / /
4407 Bleu Tours-St-Pierre / /
4408 Bleu Metz / /
4409 Rouge Metz / /
4410 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4411 Bleu Metz / /
4412 Bleu Epernay / /
4413 Rouge Nevers / Vendue en Roumanie
4414 Rouge Metz / /
4415 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4416 Rouge Metz / /
4417 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4418 Rouge Metz / /
4419 Rouge Metz / /
4420 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4421 Rouge Metz / /
4422 Rouge Metz / /
4423 Rouge Metz / /
4424 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4425 Rouge Metz / /
4426 Rouge Nevers / /
4427 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4428 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4429 Rouge Nevers / /
4430 Rouge Metz / /
4431 Rouge Nevers / /
4432 Bleu Epernay / /
4433 Bleu Epernay / /
4434 Bleu Epernay / /
4435 Bleu Tours-St-Pierre / /
4436 Bleu Epernay / /
4437 Bleu Tours-St-Pierre / Vendue en Roumanie
4438 Bleu Tours-St-Pierre / /
4439 Bleu Epernay / /
4440 Bleu Tours-St-Pierre / /
4441 Bleu Tours-St-Pierre / /
4442 Bleu Tours-St-Pierre / Vendue en Roumanie
4443 Bleu Epernay / /
4444 Bleu Tours-St-Pierre / Vendue en Roumanie
4445 Rouge Metz / /
4446 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4447 Rouge Metz / /
4448 Rouge Metz / /
4449 Rouge Metz / /
4450 Rouge Metz / Vendue en Roumanie
4451 Rouge Metz / /
 


Engins conservés

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  • X 4345 : vendu (1999) au CFV3V à Mariembourg (Belgique) puis revendu à un opérateur privé en Roumanie en .
  • X 4367 : vendu (1999) au CFV3V à Mariembourg (Belgique) puis revendu à un opérateur privé en Roumanie en .
  • X 4395 : vendu à l’association Train Thur Doller Alsace en . Jusqu’à 2017, l’association le fait circuler en tant que train touristique sur le réseau SNCF, cumulant 35 000 km parcourus en dix ans. En décembre 2017, l’association l’achemine par camion à Burnhaupt, où il circule depuis sur la ligne Cernay-Sentheim.

Engins accidentés

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La série a connu deux radiations dues à des accidents (plus de détails dans la Liste des accidents ferroviaires en France) :

Autres

  • X 4419/XR 8587, détruit à la suite d'un incendie à Stiring-Wendel (57) par les mineurs HBL, le .

Dans les premières secondes du film Tout va bien, on s'en va (2000) (version non modernisée en circulation sur les lignes du Nord-Lyonnais au moment du tournage à l'automne 1999 (numéro de série non visible)[14] et à la 79e minute, alors que Michel Piccoli attend sur le banc d'une gare, un autre X 4300 démarre de la gare de Lyon-Saint-Paul. Peu après, Michel Piccoli marche dans le tunnel de Loyasse attenant à la gare pour se suicider en se jetant sur un autre X 4300[15] .

Ou encore dans la saison 1 de l'épisode 2 (Pirates de la route) de la série Une femme d'honneur (1997), on peut y voir dans les premières minutes du film un X 4300 (version non modernisée) venant tout juste d'être reçu à quai en gare d'Auxerre Saint-Gervais en provenance de Lyon. À ce même moment L'adjudant-chef Isabelle Florent arrive en retard en voiture à la gare pour venir chercher son fils revenant de vacances, son fils l'attend avec son grand-père Bernard Florent  (colonel de gendarmerie à la retraite) sur le quai à côté de l'automoteur.

Modélisme

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Ces autorails ont été reproduits par les firmes HOrnby-acHO (en version d'origine), RMA sur base HOrnby-acHO et LS Models en HO.

Notes et références

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  1. Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, N.M. La Vie du Rail, Il s'agit de la seconde édition de 1969 avec sa réimpression de 1978
  2. Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, page 281, La Vie du Rail, 2007 (ISBN 978-2-915034-65-3)
  3. Revue bimestrielle Voies Ferrées, Le matériel moteur de la SNCF, en plusieurs articles sur plusieurs numéros par année
  4. Revue mensuelle Rail Passion, État trimestriel du matériel moteur SNCF, un article par trimestre
  5. Bernard Collardey, « La modernisation des caravelles en cours d'achèvement », Rail passion, no 14,‎ , p. 14 à 18 (ISSN 1261-3665 )
  6. a b c d e f g h i et j Jacques Defrance (préf. André Portefaix, photogr. Guy et Jacques Defrance), Le matériel moteur de la S.N.C.F., Paris, La vie du rail, (réimpr. 1977), 4e éd. (1re éd. 1960), 660 p., « Autorails et remorques d'autorails. Situation du parc au 1er janvier 1976 et Dernières mises à jour au 1er avril 1977 », p. 290, 347, 350. 562 et 658
  7. a b c et d Jacques Defrance, André Papazian et Jacques Bellanger, État numérique du parc moteur S.N.C.F. au 1er janvier 1979, Paris, Éditions Modernes et Illustrées, , 73 p., chap. V (« AUTORAILS - a) Autorails X 4301/4451 »), p. 48
  8. a b c d e et f Jacques Bellanger et André Papazian (photogr. Jacques Bellanger), Micronum 86 État numérique du parc moteur S.N.C.F. au 1er janvier 1986, Paris, Éditions Modernes et Illustrées, , 2e éd. (1re éd. 1979), 73 p. (ISBN 2-86852-003-0), chap. L. (« Traction Thermique, Autorails X. 4301/451. État trimestriel du matériel moteur du mois de mars Mutations autorails (1er trimestre 1986) »), p. 46, 55 et 59
  9. a b c d et e Georges Mathieu (photogr. Yves Broncard et Georges Mathieu), Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 302 p. (ISBN 2-902-808-37-2), « Autorails et turbotrains ; Éléments Automoteur Diesel modernisés depuis 1985 », p. 224, 225, 230, 231 ; 284
  10. a b c d et e Georges Mathieu (photogr. Georges Mathieu), Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail et des transports, , 2e éd. (1re éd. 1992), 334 p. (ISBN 978-2-902-80848-9), « Autorails et Turbotrains ainsi que les schémas des engins moteurs des établissements titulaires de Metz, Tours - Saint-Pierre-des-Corps et Nevers. Éléments Automoteurs Diesel modernisés depuis 1985. », p. 224, 225, 230, 231 ainsi que 291, 303 et 309. 320
  11. a b c d et e Georges Mathieu (photogr. Georges Mathieu, Régis Chessum), Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail et des transports, , 3e éd. (1re éd. 1992), 352 p. (ISBN 978-2-902-80875-5), « Autorails et Turbotrains ; Schémas des parcours des établissements titulaires de Metz, Tours - Saint-Pierre-des-Corps et Nevers. Éléments Automoteurs Diesel modernisés depuis 1985. », p. 230, 231,236, 237 ; 306, 318 et 325. 338
  12. a b c d et e Georges Mathieu, Denis Redoutey et Marc Carémantrant, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 4e éd. (1re éd. 1992), 399 p. (ISBN 978-2-915-03415-8), « Les autorails X 4301 - 4451 ainsi que Éléments Automoteurs Diesel et Turbotrains », p. 280, 281 ainsi que 380
  13. a b c et d Denis Redoutey, Marc Carémantrant et Patrick Staehlé (photogr. Patrick Staehlé), Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La vie du rail, , 5e éd. (1re éd. 1992), 399 p. (ISBN 978-2-915-03465-3), « Les autorails et automoteurs bimodes. Éléments Automoteurs Diesel depuis 1987 - EAD avec un renforcement de cabine et depuis 1985 Modernisation légère. », p. 280, 281. 361 et 363
  14. « Tout va bien On s'en va », sur rhone-alpes-cinema.fr via Wikiwix (consulté le ).
  15. « Tunnel », sur massifcentralferroviaire.com (consulté le ).

Bibliographie

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  • Paul-Henri Bellot, Raphaël Renauld, Vincent Mendret, Les Caravelles, La Vie du Rail, 2013
  • Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La Vie du Rail, , 399 p. (ISBN 978-2-915034-65-3).
  • Revue : Olivier Constant, « Encyclopédie du matériel moteur SNCF - Tome 4 : Les autorails des années 1950 à nos jours (2) », dans Le Train.
  • Revue : « Les autorails unifiés de la SNCF », tome 4, dans Le Train, no hors-série, 2/1999.
  • Revue : « Les Caravelles, une invincible armada », dans Rail Passion, no hors-série, .

Voir aussi

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Articles connexes

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