Depuis 2009, le Burkina Faso est un des leaders du Réseau d’Afrique de l’Ouest des Laboratoires d’Analyses Biologiques (RESAOLAB) et a grandement contribué à son succès. La Fondation Mérieux a notamment participé à l’évaluation de la qualité de plus d’une centaine de laboratoires, dans le but d’améliorer la qualité du diagnostic.

À travers le Centre d’Infectiologie Lao Christophe Mérieux, nous aidons le ministère de la Santé à améliorer la prise en charge des personnes vivants avec le VIH et des patients atteints d’hépatites virales avec un suivi biologique de qualité.

Au Brésil, pays confronté à d’importants défis de développement, tout particulièrement dans les États amazoniens, nous renforçons les capacités de diagnostic et de recherche de l’État d’Acre.

Haïti est l’un des pays les plus durement touchés par les catastrophes naturelles dans les vingt dernières années. La Fondation Mérieux y intervient depuis 2002, aux côtés du ministère de la Santé publique et de la Population et des Centres GHESKIO, pour renforcer le système national des laboratoires et la recherche spécialisée. Elle accompagne également plusieurs structures destinées aux mères et aux enfants.

Le Niger fait face à d’importants défis de développement de son système de santé, de par l’ampleur géographique du pays et les contraintes en matière de sécurité. La Fondation Mérieux accompagne le ministère nigérien de la Santé dans le développement du système de laboratoires du pays, aux côtés d’autres partenaires, tels que la Coopération monégasque.

Au Liban, terre d’accueil de plus d’un million de réfugiés, nous intervenons notamment pour soutenir les personnes déplacées. Avec le Laboratoire Rodolphe Mérieux, nous menons un projet de recherche sur les infections respiratoires qui affectent les enfants dans les camps de réfugiés et nous apportons notre expertise en biologie médicale pour offrir des tests spécialisés.

Depuis que le Bénin a pris la décision de rejoindre le Réseau d’Afrique de l’Ouest des Laboratoires d’Analyses Biologiques (RESAOLAB) en 2013, il met en place de nombreuses activités de renforcement des capacités de la biologie médicale, aux côtés de la Fondation Mérieux.

Partenaire historique de la Fondation Mérieux et hôte du Laboratoire Christophe Mérieux, situé à l’Académie chinoise des sciences médicales, à Pékin, la Chine travaille de concert avec la Fondation Mérieux sur des coopérations scientifiques dans le pays et à l’international.

Au Cambodge, la Fondation Mérieux s’efforce de lutter contre des problèmes majeurs en santé publique en apportant son appui dans la recherche en infectiologie, la formation des biologistes médicaux et le renforcement du réseau national des laboratoires, en particulier la rénovation des laboratoires médicaux publics.

Au Bangladesh, confronté aux défis d’une très importante densité de population, du changement climatique et du contrôle des maladies infectieuses, nous renforçons les capacités locales dans les domaines de la recherche, la formation et les analyses biologiques par la construction du Laboratoire Rodolphe Mérieux au sein du Bangladesh Institute of Tropical and Infectious Diseases.

Malgré la crise politico-sécuritaire et la crise sociale au Mali, la Fondation Mérieux n’a jamais cessé son appui dans ce pays situé au cœur du Sahel. À travers le Centre d’Infectiologie Charles Mérieux, la Fondation Mérieux favorise l’accès aux soins pour tous en proposant un diagnostic biologique de qualité.

Au Myanmar, la Fondation Mérieux lutte contre les maladies infectieuses, en développant l’accès à un diagnostic de qualité dans les laboratoires nationaux, en particulier du VIH.

Présente depuis 2006 à Madagascar, la Fondation Mérieux contribue, dans cette île de l’océan Indien, à l’amélioration de l’accès aux soins des personnes vulnérables et à un meilleur diagnostic biologique en soutenant les laboratoires de région et le Centre d’Infectiologie Charles Mérieux.

Présente depuis 2013 en Guinée, la Fondation Mérieux est particulièrement intervenue dans la lutte contre l’épidémie de maladie à virus Ebola. Elle œuvre aujourd’hui aux côtés du ministère de la Santé pour reconstruire le secteur de la biologie médicale pour mieux faire face à une éventuelle nouvelle épidémie.