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le cirque romain
Le cirque servait avant tout aux courses de chevaux et de
chars, bien que parfois on y ait
représenté aussi des combats de cavalerie et des venationes (sorte de chasses ... courre)...
En raison de leurs vastes dimensions, ces
bâtiments étaient d'ordinaire situésà l'extérieur
des murailles d'une ville. Ils comprenaient une
area (ou piste)partagée en deux parcours par un
mur décoré de sculptures et de bassins, avec un
obélisque au centre.
Cette barrière, parfois appelée spina
(l'épine),
était terminée à ses deux extrémités par des
bornes (ou metae) que les concurrents
s'efforçaient de passer au plus près, virage "à la
corde" rendant très spectaculaire ce moment de
la course.
Les équipages en compétition (biges ou
quadriges, selon le nombre de
chevaux)parcouraient sept fois la piste dans le
sens inverse des aiguilles d'une montre; un
système visuel (oeuf ou dauphin crachant de
l'eau) permettait au public d'évaluer le nombre
de tours effectués.
reconstitution fantaisiste du cirque d'Arles. Dessin d'Auguste Véran, début du XX° siècle
implantation du cirque dans le parcellaire de la ville actuelle
A Arles, le cirque mesure 101 mètres de large pour une
longueur voisine de 450 mètres, ce qui lui permettait
d’accueillir environ 20 000 spectateurs.
(claude sintes)
Reconstitution du cirque romain échelle 1/100°, dimensions 1m50x 4m50 à partir des traces visibles sur le plan cadastral de la ville d’Arles, des fouilles effectuées sur le site depuis 1970 et de la monographie sur les cirques dans l’empire romain de John Humprey: Arenas and chariots racing
Exécution en résine polyuréthane moulée sur des models usinés par commande numérique
photo
Michel Lacanaud